Les Suisses n’ont rien gagné avec la libre circulation des personnes

On attribue volontiers la bonne santé de l’économie suisse à la libre circulation des personnes et aux prétendus avantages qu’elle présenterait. La réalité chiffrée propose une lecture nettement moins favorable comme nous allons le voir : jetons un œil sur les taux de chômage 2016 au sens du BIT (Bureau International du Travail). Nous constatons une différence importante entre le taux de chômage frappant les Suisses, 3,5% et celui des étrangers, 8,8%.